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mer. 11 sept. 2013 09:16:32 CEST
La Generali Solo, c’est dur mais ils aiment ça (Episode 3)
Nicolas Lunven, Generali : « La course porte le nom de mon partenaire, alors malgré tout, j'ai un peu la pression ! Au delà de ça, le programme est très ambitieux et le niveau de concurrence élevé. La gestion de la fatigue de la fin de saison va compter. En 2011, je n'avais pas très bien marché mais j'ai de très bons souvenirs. On passe dans des endroits sympa où nous n'avons pas tant l'habitude d'aller. »
David Kenefick, Full Irish : « J'ai hâte de naviguer en Méditerranée. C'est là que je me suis entrainé tout l'hiver. Mais j'imagine que ce sera très très dur. Pour La Generali Solo, je gère mon projet et j'ai préparé mon bateau tout seul. Pour moi, cette fois, ce sera un vrai one man show, sans l'équipe d'Artemis autour. »
Jean-Paul Mouren, MarseillEntreprise : « Je suis sensé connaître par cœur les endroits où nous allons passer, mais il faut bien avouer que ce sont souvent les bretons qui gagnent. Or, je ne suis pas certain d'être en mesure de les bouter hors de chez nous (rire). Quant aux conditions de navigation, à ces périodes, ce peut être une vraie caricature de la Méditerranée : 35 nœuds de vent ou tout petit temps ! »
Adrien Hardy, Agir Recouvrement : « Je suis ravi de faire cette course. J'aime bien la variété des parcours. Les régate en baie, le format des grands prix à la journée, ce n'est pas un exercice facile mais en général, je m'en sors très bien. Mieux parfois que sur les parcours au large. Les étapes sont longues, voire très longues et il faudra réussir à bien récupérer pendant les 3 semaines de course. »
03/12/2015