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ven. 06 sept. 2013 16:59:33 CEST
La Generali Solo, c’est dur, mais ils aiment ça (Episode 2)
Frédéric Duthil, Sepalumic : « Au début de ma carrière de figariste, on se disait que c'était la course la plus géniale du circuit. Elle faisait rêver quand on était jeune skipper. Pour nous qui naviguons toute l'année avec trois couches de polaires, naviguer en Méditerranée, c'est super. »
Gildas Morvan, Cercle Vert, triple vainqueur de l'épreuve et détenteur du titre
: « Le programme est costaud, on va bien enchaîner. On aura à peine terminé un
parcours banane qu'il faudra déjà se concentrer sur la course au large qui
arrive. Il y aura des coups météo intéressants avec des changements de régime
radicaux. Il faudra tout le temps rester sur le qui-vive, rester ouvert à ses
sensations, bien observer le ciel. Mais c'est une course superbe. Et on va aller
naviguer dans des coins magiques. On n'est pas malheureux ! »
Anthony Marchand, Bretagne-Crédit Mutuel Performance : « D'une manière générale, le Breton est moins à l'aise en Méditerranée. J'y ai pas mal navigué en dériveur, mais en habitable, ça a toujours été compliqué pour moi. Les enchaînements météo sont très différents qu'en Atlantique et c'est toujours un peu incertain. Cela dit, ça va nous prolonger l'été. On gardera nos tongs plus longtemps à une époque ou chez nous, on a déjà les cirés. La course sera dure, physique, mais en même temps, c'est la dernière de l'année alors on pourra se donner jusqu'au bout. Ce qui me plaît aussi, c'est le grand nombre de manches. Cela permet d'avoir un classement général plus cohérent. Plus il y a de régates, plus c'est équitable ».
Anthony Marchand, Bretagne-Crédit Mutuel Performance : « D'une manière générale, le Breton est moins à l'aise en Méditerranée. J'y ai pas mal navigué en dériveur, mais en habitable, ça a toujours été compliqué pour moi. Les enchaînements météo sont très différents qu'en Atlantique et c'est toujours un peu incertain. Cela dit, ça va nous prolonger l'été. On gardera nos tongs plus longtemps à une époque ou chez nous, on a déjà les cirés. La course sera dure, physique, mais en même temps, c'est la dernière de l'année alors on pourra se donner jusqu'au bout. Ce qui me plaît aussi, c'est le grand nombre de manches. Cela permet d'avoir un classement général plus cohérent. Plus il y a de régates, plus c'est équitable ».
Thierry Chabagny, Gedimat : « Le programme sportif est intense. On aura beaucoup de manœuvres sur des petits parcours et cela me permettra de travailler un domaine que je n'ai pas pratiqué depuis longtemps. Et faire la fin de saison en Méditerranée sous le soleil, c'est quand même pas mal ! »
Yoann Richomme, DLBC : « La Méditerranée, je la connais via les Tour de France à la Voile et la Route des Iles. J'adore naviguer dans ces coins. Je sais que les conditions y sont toujours un peu aléatoires et qu'il faut savoir s'adapter. Le programme de La Generali Solo est condensé et ce sera certainement la course la plus physique de l'année. »
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